James N. Andrews ••• In another life

James N. Andrews ••• In another life 6sqpfk

James N. Andrews ••• In another life Gaspar14

James Nolan Andrews
25 ans
Né à Darwin
Vit à Darwin & Sunsite Avenue
Professeur d'Anglais au lycée de Darwin

TALK ABOUT YOU

Description physique:
Classe, élégance, voilà les mots qui revenait à la bouche de certaines personnes lorsqu’ils m’apercevaient pour la première fois. Evidemment, on pourrait penser à une part d’égocentrisme chez moi. Je ne suis pas ainsi. J’ai hérité en partie du physique de mon père. Grand, un regard perçant et déstabilisant, une musculature longiligne qui fait de moi, une personne grande mais forcément très musclé. Le visage quelque peu triangulaire qui se termine en un fin menton, je possède le sourire de ma mère, large et avenant. Les personnes viennent à moi comme des aimants attirés par le métal. Mes cheveux ? longues histoire, tantôt longs, tantôt court, j’en suis à ma phase « cheveux court ». Essentiellement parce que je suis sensé montrer l’exemple. Je ne suis pas le mannequin de référence mais juste un homme qui prend soin de lui. Un peu de sport de temps à autre pour garder la forme et une bonne coupe de cheveux de temps en temps. Je déteste avoir ses petits cheveux dans le cou qui me chatouille.

Caractère :

Moi un sale caractère ? non, vous vous trompez d’Andrews. Je n’irais pas jusqu’à me vanter, car ça n’a jamais été mon genre. Etant l’ainé, j’ai vite comprit qu’il m’était impossible de passer à travers certaines obligation. Etre le modèle n’a jamais fait parti de mes priorité. On ne peut pas dire que je sois quelqu’un d’impulsif bien qu’il y ait des situations qui pourrait laisser croire le contraire. Je suis humain et personne n’est parfait. Les erreurs font partit du parcours de l’apprentissage. J’essaie d’avoir un certain niveau de tolérance surtout vis-à-vis de ma famille, à qui j’en demande toujours beaucoup. Protéger les miens est aussi bien une qualité qu’un défaut. Je veille sur mes frères depuis longtemps, avant la mort prématurée de mes parents. Je comprends pertinemment que ces derniers en ait marre de moi, mais ils sont tout ce que je possède après ma femme. D’un naturel plutôt calme, j’essaie d’éviter tout style de crise. Bien que ça semble inévitable lorsque Justin se trouve dans les parages. La jalousie est un vilain défaut, quiconque le dirait. Jusqu’à maintenant, je ne me croyais épargné par ce sentiment pourtant, il s’avère qu’aujourd’hui je ne supporte pas de voir la femme que j’aime entouré de garçons. Je le vis et peut m’avéré violent envers moi-même.

Histoire:

Darwin, ma terre natale. J’ai grandis dans ces rues. Chaque endroit possédait une signification particulière à mes yeux. Que ça soit les sorties au parc avec mes parents et mes frères ou encore la première que je ramènais une petite amie à la maison. Ma mère avait fait une tête ce jour là, qu’elle avait semblé prendre dix ans d’un coup. Bien sur à l’époque je n’étais qu’un gamin et n’imaginais pas que ma vie prendrait un tel tournant. J’étais très jeune, je vivais sans me soucier du reste. En somme, je profitais de ma jeunesse. L’adolescence ne fut pas la période la plus simple de ma vie. Rester dans mon coin était entre autres, un choix que j’avais fait. La plupart de mon temps, je m’assurais que Jason ne se perdait pas trop dans ses pensées et que Justin ne s’attirait pas trop d’ennuis. Etre l’ainée n’avait pas que des avantages. Veiller sur ses cadets pouvait s’avérer pesant. Les protéger était mon devoir. Jason s’en accomodait sans mal, mais Justin ; c’était une toute autre histoire. Il ne voulait littéralement rien entendre. A croire que j’étais là, uniquement pour jouer au gendarme avec lui. Avait il la simple idée du nombre de fois où je lui avais évité de se retrouver piégé ? Je l’admettais, j’avais mentit pour lui sauver la peau. Surtout devant nos parents, mais c’était à croire qu’il ne l’avait jamais remarqué.

Mes frères représentait ma famille, tout ce qu’il restait du clan Andrews. Hélas, il y avait deux autres personne dans ma vie. Lily, ma femme. Je ne sais plus quoi penser. A notre rencontre, tout semblait parfait. Elle possédait cette douceur, cette fraicheur et ce charme irrésistible. Rien ne semblait pouvoir se mettre entre nous. On se parlait beaucoup, on était tout le temps fourré ensemble mais on ne se connaissait pas vraiment. Je n’ai jamais aimé parlé de ma famille et encore moins de mes problèmes. Pourtant, elle était là – prête à m’écouter – à chaque fois qu’un coup de blues semblait se profiler à l’horizon. Je gardais tout pour moi, persuadé qu’elle ne comprendrait pas la mission dont je m’étais porté volontaire. M’assurer du bien être de ma famille. Et avant même que je comprenne réellement ce qui s’était produit, le mot mariage fut balancé entre nos parents. A croire que cette décision ne me concernait pas. Mes parents me poussait à m’engager dans ce mariage alors que j’étais contre. Me passer la corde au cou alors que je n’avais que 21 ans ! C’était complètement insensé, même si j’aimais Lily. Rien ne nous obligeait à franchir le pas. Après tout, la vie avait évolué, on pouvait être en couple sans se marier. Cependant la première réaction de mes parents avait été de me rappelé de la chance que j’avais que Lily s’intéresse à moi, et surtout qu’elle venait d’une bonne famille. Finalement, je cédai. Dire qu’au début, j’étais prêt à ruer dans les brancards pour m’affirmer. La vérité, c’était qu’au final, Lily m’avait convaincu. Elle aussi avait besoin de moi et elle m’aimait. C’était l’essentiel. Avec le temps, j’apprendrais à la connaitre. C’était pourquoi j’avais accepté, bien que je doutais encore de mes sentiments.

Ç’en suivit, un an plus tard de la mort de mes parents. Enorme coup dur pour moi. Je ne vivais plus à la maison depuis mon mariage. Le drame m’obligea à prendre mes responsabilités. M’occuper de mes frère adolescents et des funérailles. Ça ne fut pas la chose la plus aisé. Déjà à l’époque, Justin semblait me vouer une haine particulière. Quand à Jason, il se retranchait dans une sorte de silence coupable. Les accidents se produisaient chaque jour et lui semblait croire que tout était de sa faute. Il était un des rares à sembler me supporter. Nous n’avions jamais eu de problèmes de communication tous les deux. On se disait les choses, sans chercher à utilisé des moyens détourné. La franchise et la sincérité étaient naturelle entre nous, contrairement à mes rapports avec Justin.

Aujourd’hui, ils vivaient tous les deux dans la maison de nos parents, je ne cachais pas mon inquiétude et j’essayais toujours de leur apporter de l’aide. Ils ne devaient manquer de rien, c’était important à mes yeux. Imaginer que mes parents m’en voudront d’avoir fait d’eux, des voyous, des criminels, c’est plus que je ne pourrais le supporter. J’aurais faillit à ma mission. Ainsi, il était hors de questions qu’une telle chose se produise.
Les garder à l’œil ne m’était pas bien difficile. Je ne vivais plus à la maison mais je pouvais m’assurer qu’ils allaient bien. Chaque jour, je les voyais au lycée. Etant professeur d’anglais, je n’avais aucun mal à savoir s’ils filaient un mauvais coton. De plus, Justin était l’un de mes élèves. Ce qui, je l’avoue n’avait pas été simple à gérer au début. Mais on s’en sortait, c’était l’essentiel. Ma vie aurait pu être pire. Quand j’y pensais, je me disais que Jason et Justin auraient pu se trouver dans la voiture au moment de l’accident de mes parents. Sur cette théorie, je serais seul au monde.

Cependant ça n’était pas le cas. Un an plus tôt, trois nouveaux élèves étaient arrivés au lycée. Venu des Etats Unis. Eden. Tout se compliquait depuis son arrivé. Elle était mon élève. Brillante, futée, instruite, drôle et pourtant elle se gardait de faire des commentaires. Au tout début, je me suis contenté de l’observer subrepticement. Et puis, sans même que je le réalise, je commençai à m’attacher à elle. Parce qu’elle semblait malheureuse, même si elle ne le montrait pas réellement. Quelques chose semblait brisé en elle. Ça m’avait alors attiré. J’étais curieux et machinalement je voulais en savoir plus sur elle. Au fil des jours, je franchissais cette ligne interdite. Le professeur et son élève, alors que j’étais marié. Elle était dorénavant ma maitresse. Comment en étais je arrivé là ? lorsqu’un soir en rentant du lycée, je l’avais vu dans le quartier. Je m’étais arrêté et on s’était mit à parler. Depuis ce jour, je compris que j’avais dépassé cette limite. Etrangement, elle m’apaisait tout en créant cette angoisse au fond de moi. Que m’arriverait-il, si j’en venais à la perdre ou qu’elle quitte Darwin ? Cette simple pensée suffisait à me rendre malade. Néanmoins, il y avait mon mariage. J’étais moins présent et je passais bien du temps à m’excuser auprès d’elle pour mes absences. Elle était fragile d’un certain coté et je m’en voulais de lui faire subir ça, même si pour l’instant, elle ignorait encore que je la trompais avec une adolescente de 18 ans. Au fond de moi, je sais pertinemment que je ne pourrais pas continuer ainsi éternellement. Mais peut être parviendrais je à tenir jusqu’à ce qu’Eden décroche son diplôme. Après, tout devrait rentrer dans l’ordre et je n’aurais pas la crainte de perdre ma place parce que notre relation sera dévoilée. Etrangement, je ne vois pas ma vie sans Eden et pourtant, c’est dans le lit de ma femme que je m’endors tous les soirs en pensant à l’adolescente qui m’émeut à travers chacun de ses gestes.

Ce que tu caches:

Un triangle. Ma femme, mon élève et moi. Voilà ce secret qui me torture. J'aime ma femme même si notre relation est entrée dans une sorte de routine. Mon élève, Eden, c'est une tout autre histoire. Je tiens à elle. Je ressens une force qui me pousse dans sa direction et elle m'attire. Sans parler du mystère qu'elle entraine partout avec elle. Il m'est de plus en plus difficile de me tenir à distance d'elle. Le fait qu'elle soit mon élève et que ça soit interdit par le règlement rend les choses encore plus compliqué. Je risque ma place de professeur et pourtant une part de moi ne craint pas d'être découvert. Néanmoins l'idée de faire du mal à ma femme me fait également culpabilisé car elle n'a rien fait pour que je lui fasse subir ça. Je suis perdu et partager entre mon devoir et mes sentiments.

IF YOU ARE...

Blanc ou Noir? Noir
Salé ou Sucré? Sucré
Une musique : Leave Out All The Rest - Linkin Park
Un film: Mamma Mia !
Une manie, un tic: Lorsque je suis nerveux, j'ai facilement tendance à faire tourner mon alliance autour de mon doigt ou encore, je joue avec la médaille que m'ont offerte mes parents lorsque j'ai décroché mon diplome de professeur.

ABOUT YOURSELF

Pseudo/Prénom: Sydney
Age:18 ans depuis 9 ans Razz

Comment avez vous connu le forum? Amel bien sur Wink

Comment le trouvez vous? Passe son tour pour les critique xD
Présence sur /7: 7/7

Toi je t'aiiime Razz

Bienvenuuuu

Bonne continuation et courage xD pour ta fiche ^^

Relations:

Eden H. Spencer

James N. Andrews ••• In another life EmmaIcon

Nature de la relation : Eden est ma maitresse. Dit de cette façon, ça fait déjà de moi un être malhonnête envers sa femme. Je l’aime, je tiens à elle, je veux prendre soin d’elle et m’assurer de sa protection. Ça n’est pas mon rôle, j’en suis conscient. Je suis son prof’ et par conséquent je suis déjà dans les ennuis jusqu’au cou. Pourtant, je refuse de reculer. Suis-je prêt à mettre ma carrière en jeu, juste pour elle ? Je ne saurais dire non.

Avatar : Emma Roberts

Lily T. Andrews

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Nature de la relation : Lily est ma femme depuis plus de trois ans. Ma relation avec elle, peut être qualifiée de routinière. Je l’aime bien sur, mais quelque chose nous sépare. La mort de mes parents a été un coup dur. Elle m’a aidé à cet époque mais j’ai l’impression qu’on vit dans deux monde différent, bien que je ne doute pas de ses sentiments à mon égard.

Avatar : Ashley Greene

Jason N. Andrews

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Nature de la relation : Jason est mon frère. Nos relations sont équilibré et nous n’avons aucun réel problèmes l’un envers l’autre. Néanmoins, je sais qu’il dissimule quelque chose, sans pour autant avoir un quelconque indice sur le sujet.

Avatar : Robert Pattinson

Justin E. Andrews

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Nature de la relation : Justin est mon autre frère. Je le protège, ce que monsieur ne supporte pas. Avec lui, j’ai l’impression de ne pas être son frère mais son père. Si je le laisse sans surveillance, il accumulera les bêtises. Pourtant même s’il cherche toujours à me mettre en colère, je ne pourrais jamais lui tourner le dos. Il est mon frère, ma famille. Et quoi qu’il arrive, je l’aimerais toujours. Bien que je ne l’avouerais pas en public, question de fierté.

Avatar : Steven Strait

Evan A. Carter

Nature de la relation : Evan est surveillant au lycée. On se connait depuis déjà quelques temps. Bien qu’il ne soit que surveillant, je pense qu’il est quelqu’un de confiance. Néanmoins, je n’irais pas lui révéler la vérité sur ma relation avec Eden. Je risque trop gros. Je le considère pourtant comme un ami.

Avatar : Hayden Christensen

OTHERS

Code Correct

Spoiler:

Une personne extérieure les observerait, elle trouverait leur dispute des plus hilarantes. Après tout, il se défendait avec ses armes. Bien sur qu’il se doutait qu’elle serait furieuse. En vérité, si sa réaction avait été tout le contraire, il en aurait été surprit. C’était une chose qu’il appréciait déjà auparavant. Elle avait ses opinions et se battait bec et ongles pour faire se faire entendre. A cet instant, il sut que leur discussion s’engageait dans un chemin de plus en plus musclé. Discuter avec elle avait un attrait particulier, car Rose ne se laissait jamais marcher sur les pieds. Rentrant à son tour dans le château, il releva que c’était elle qui avait supposé qu’il était jardinier. Ce qui la mit hors d’elle. Intérieurement il jubilait. Il l’avait déstabiliser et ce jeu l’amusait réellement. Elle était furieuse de découvrir la supercherie de son petit jeu et bien qu’elle s’énervait contre lui. Il restait toujours aussi calme. A croire que sa réaction ne le touchait pas. Face à lui, il croisa l’intensité de son regard azur. Elle semblait sur le point d’exploser, tellement elle contenait cette colère. Elle ne devait pas savoir le charme qui s’émanait d’elle lorsqu’elle était furieuse. Et pour sa part, il trouvait ça tout à fait sexy. Sans même réfléchir, alors qu’elle s’énervait toujours contre lui, il fit la seule chose – dont il espérait que ça la calmerait – il l’embrassa, lui clouant le bec par la même occasion.

Croire qu’elle resterait sans réagir était une erreur. Rose était rarement calme, du moins ça faisait partie de son caractère. Elle aimait la vie et en profitait au maximum. Ainsi lorsqu’elle lui fit remarquer qu’elle n’était plus une petite fille, il se mordit la lèvre la inférieure, osant un regard évaluateur sur elle.

« - Comment ne pas le remarquer ? » la charria-t-il avant de poursuivre sur le même ton, amusé. « Tu as bannit tes couettes pour tout le restant de ton existence ? » lança James en arborant ce sourire espiègle. Il aimait la titiller et la faire enrager. D’ailleurs il n’était pas sur de pouvoir s’empêcher de s’arrêter. C’était naturel, ces remarques s’enchainaient et bien que ça réveillait la colère Rose, il l’appréciait d’autant plus.

Rose possédait une verve intarissable, d’ailleurs le fait qu’elle imagine qu’il ait braquer une banque le fit rire. L’imaginait elle comme un mauvais garçon ? En vérité, il n’y avait rien d’étonnant à ça. Surtout que 10 ans plus, les rares fois où ils avaient parlés, les instants avaient été rares. Par conséquent, Rose ne savait rien de sa vie depuis son départ et il ne doutait pas qu’elle risquait d’être surprise par la vérité.

« - Je suis sure que ça te ferait plaisir de croire que je suis le type le moins recommandable que tu ais rencontré jusqu’à maintenant. Mais je suis désolé, Princesse. Cette Porshe est bien à moi et je ne me ferais jamais entretenir par une femme. Ma mère m’aurait déjà tué si jamais j’étais tombé aussi bas… » expliqua-t-il sans entrer dans les détails. « Tu m’as l’air bien curieuse tout à coup. D’autres questions ? » fit il en plantant son regard dans le sien. Lui clouer le bec était une chose mais satisfaire la curiosité de Rose en était une autre. Et il ne comptait pas tout lui révéler sur un plateau d’argent.

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